mmmm... déjà chez moi c'est toujours plus qu'un verre de trop. Ma première cuite avec un panaché 1/2, puis 5 bières, puis 10 et après j'ai testé les limites. Je signale quand meme que c'était uniquement en soirée, et qu'après tout les 3/4 des gens présents venaient pour s'arroser le cerveau.
Ma limite était tout un temps une quinzaine AVANT de me sentir vraiment saoûle, ce qui ne m'empêchait pas de pousser jusqu'à la vingtaine voire plus. Et actuellement, les sorties s'étant espacées et se faisant rare, mon gros problème c'est d'avoir gardé les limites chiffrées d'avant... sauf qu'il m'en faut moins de la moitié pour être fin grave... alors je vous raconte pas jusqu'où ça peut aller parfois :?
La dernière info chiffrée et qui me donne des frissons, c'est le festival de Dour... 250 euros de dépensé là-bas HORS entrée, et quand je vois que je n'ai quasi rien investi en bouffe, acheté mes clopes au meilleur marché... j'ose même pas imaginer combien de litres j'ai pu boire (2 euros la bière sur le festiv) en 6 jours sans compter le vin des autres ni mes 8 bouteilles de 50cl de bière amenées de chez moi :lol: . Je conseille jamais à personne de peu conscient des risques de l'alcool de faire le même menu que moi... il m'a fallu 2 semaines à raison d'une, voire 2 bière par jour pour me sortir de cette galère, jusqu'au moment où je me suis dit... bon, là, ça va pas, je deviens alcoolique, et une vraie.
Jamais eu de coma éthylique, certes quelques moments vides mais bon. J'ai déjà eu quelques fameux trous de mémoire, malade bien entendu aussi (mais uniquement en cas de mélanges ou antibiotiques, la bière ça me donne juste la gueule de bois le lendemain sinon).
J'ai déjà pu me montrer très méchante en ayant bu, et j'ai en général l'art d'ouvrir trop ma bouche dans ces moments-là et de pas arrêter de parler. La probabilité que je me casse la figure est démultipliée comparé à quand j'ai pas bu (déjà qu'elle est fameuse sans alcool dans le sang ^ ^). Mais en général je reste joyeuse, sans méchanceté (il suffit juste qu'on ne vienne pas me chercher des noises), et surtout je me fais remarquer... les lendemains je suis jamais fière de ce qu'il s'est passé d'ailleurs, j'ai souvent honte de moi...
Et bon, ça fait 10 ans que je picole quand je sors, et maintenant j'ai un peu de mal à concevoir des soirées sans... je reste trop réservée et inhibée. Mais je réserve l'alcool uniquement aux soirées, jamais pour des événements au boulot, ni pour mes soirées internet (sauf les 2 semaines d'après festival citées plus haut)