40 ans
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lwena a écrit:
On peut, en effet, boycotter les magazines féminins. On peut également se servir des supports qui nous sont "offerts" par ces magazines ou chaines télé (quand il y a des émissions à la c*n sur les gros, les régimes, etc), du genre forums, adresses auxquelles écrire en masse, etc, pour faire entendre nos voix. Se servir des autres forums, des blogs, etc, pour combattre les clichés qu'on essaie de transmettre à la "masse". Et quand je pense aux blogs, je ne pense pas qu'aux TDJ, je pense aussi à tout ce qu'on peut montrer de nous qui casse l'idée reçue du gros inactif. Parce que cette idée-là fait aussi notre "laideur" pour certaines personnes. L'idée qu'on est des pauvres choses molles, flasques, feignantes, ce n'est pas très séduisant il faut bien l'avouer.
lwena a écrit:
Je pense que rien que le fait d'exister, d'être là, d'être nous, d'assumer, d'être dynamiques, souriantes, etc, c'est déjà faire quelque chose auprès des gens que l'on croise. C'est casser le cliché stupide qu'ils ont dans la tête, leur montrer que nous aussi on peut être épanouies au même titre que les personnes qui leur plaisent. Et donc que, par l'énergie positive qu'on dégage, on peut leur plaire également.
lwena a écrit:
Je comprends. Mais je crois que critiquer ce n'est pas suffisant. Ce que je veux dire c'est que si on se lamente en disant que la société actuelle est intolérante et qu'on en prend un coup dans l'aile à chaque fois que quelqu'un n'est pas attiré par nous voire nous critique, si on pense que la première chose à changer c'est nous, alors on n'est pas près de changer cette société.
Quand on dit "la société actuelle", ça peut être soit les médias, soit la majorité des gens, soit un mélange des deux.
Dans le cas des médias, à moins de travailler dans ce domaine, on ne peut pas faire grand chose, à part boycotter les magazines féminins (mais quand on en achète déjà pas, ben on ne peut rien faire de plus).
Dans le cas des médias, à moins de travailler dans ce domaine, on ne peut pas faire grand chose, à part boycotter les magazines féminins (mais quand on en achète déjà pas, ben on ne peut rien faire de plus).
On peut, en effet, boycotter les magazines féminins. On peut également se servir des supports qui nous sont "offerts" par ces magazines ou chaines télé (quand il y a des émissions à la c*n sur les gros, les régimes, etc), du genre forums, adresses auxquelles écrire en masse, etc, pour faire entendre nos voix. Se servir des autres forums, des blogs, etc, pour combattre les clichés qu'on essaie de transmettre à la "masse". Et quand je pense aux blogs, je ne pense pas qu'aux TDJ, je pense aussi à tout ce qu'on peut montrer de nous qui casse l'idée reçue du gros inactif. Parce que cette idée-là fait aussi notre "laideur" pour certaines personnes. L'idée qu'on est des pauvres choses molles, flasques, feignantes, ce n'est pas très séduisant il faut bien l'avouer.
lwena a écrit:
Dans le cas de la majorité des gens, à part sensibiliser les gens qui nous sont proches, ou faire partie d'associations ou de mouvements qui prônent l'acceptation et la tolérance, là encore, on ne peut pas faire grand chose à l'échelle individuelle.
Je pense que rien que le fait d'exister, d'être là, d'être nous, d'assumer, d'être dynamiques, souriantes, etc, c'est déjà faire quelque chose auprès des gens que l'on croise. C'est casser le cliché stupide qu'ils ont dans la tête, leur montrer que nous aussi on peut être épanouies au même titre que les personnes qui leur plaisent. Et donc que, par l'énergie positive qu'on dégage, on peut leur plaire également.
lwena a écrit:
Moi je dirais qu'on a pas à se plaindre de la "société actuelle" si nous-même faisons partie de cette majorité qui juge et qui critique ; si on fait tout ce qu'on peut pour prôner la tolérance, alors oui on peut critiquer "l'intolérance de la société actuelle" (sous-entendu, des autres et des médias).
Je comprends. Mais je crois que critiquer ce n'est pas suffisant. Ce que je veux dire c'est que si on se lamente en disant que la société actuelle est intolérante et qu'on en prend un coup dans l'aile à chaque fois que quelqu'un n'est pas attiré par nous voire nous critique, si on pense que la première chose à changer c'est nous, alors on n'est pas près de changer cette société.