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Votre avis sur ces photos

2630
Drayke a écrit:
@TuttiFruiti: effectivement c'est plus que certain, au delà de ça, le sujet reste intéressant...

@lwena: Mmmmh, je reste un irréductible gaulois; la méthode employée par les  
psychologues n'est elle pas, pour l'essentiel la maïeutique? Si tel est bien le cas, je pense que notre amie ferrait mieux de se mettre devant un miroir, se poser les questions essentielles à elles même ( "qu'est ce qui ne vas pas chez moi? Pourquoi suis-je ainsi? etc.") et faire par là même, une bonne petite introspection.

L'avantage étant que cette dernière est gratuite.

Ça résume parfaitement ce que je pense de cette profession.
http://www.youtube.com/watch?v=K1zUCoMqGMg


Quelle est la raison de ta détestation pour cette profession ?
Une mauvaise expérience ?
47 ans Moselle 1923
Drayke a écrit:
You are welcome!

(et là tu dois m'imaginer plié en deux comme un artiste remerciant une salle à la fin d'un spectacle, pas moyen de trouver une image)


dans ce genre?


;)
Drayke a écrit:
You are welcome!

(et là tu dois m'imaginer plié en deux comme un artiste remerciant une salle à la fin d'un spectacle, pas moyen de trouver une image)



Nan mais ho sa va oui ! vous avez vu les homme faut jamais les flatter ! mdrrrrrr allaallaaa ^^ :D :D :D
36 ans Mons (Belgique) 57
@Iwena: Non, étrangement non, je n'ai aucune expérience, mais plusieurs choses m'énerve. La première, c'est que je m'estime comme un modèle d'équilibre mental, du coup, il m'est particulièrement difficile d'imaginer en quoi un tiers pourrait interférer dans ma vie.

Ensuite, comme je ne suis pas le centre de l'univers, et que tout le monde n'est pas moi. Je comprends que l'on puisse avoir besoin de se faire aider, mais ça ne m’empêche pas de penser qu'un intrus n'a pas à intervenir dans ta vie. Tu es la personne qui connait le mieux ton corps, ton esprit, ton expérience, en quoi aurais tu besoin d'une personne externe qui n'aura comme point de vue que ton récit seul(avec ta perspective donc) pour te juger et définir quels sont tes problèmes.

Finalement, j'ai un problème avec ces gens qui manipule l'esprit de personnes affaiblies et en détresse psychologiques pour les amener sur des conclusions honteuses et erronée, que penser de la fille qui va se mettre à détester son père, parce que, un psychologue l'a amenée à la conclusion fausse que la seule raison de son malêtre venait du regard incestueux que portait son père sur elle...

L'esprit est une chose trop importante et trop incomprise pour que l'on joue avec. Tant qu'ils ne seront pas d'accord entre eux sur la méthode à utiliser, les psychologues, psychiatres et psychanalyste pourront toujours aller se faire foutre! Je serais toujours là pour rappeler que nombres d'entre eux, ont trépané et lobotomiser leurs patients dans les années 50 "pour les soigner" (où utilisé un gode à moteur pour soigner des patientes de l’hystérie, avis aux amatrices...).

@JeMeLance: merci, c'est quasi la bonne mais je m'imaginais plutôt à la façon "one man show", tu sais courbette à l'ancienne avec un bras plié en dessous du torse, et l'autre qui fait des moulinets ou qui secoue un chapeau ou est encore tendu à l'horizontale. Ça, c'est vraiment l'image que j'ai en tête.

@TuttiFruiti: Ah ah ah, :D Je suis ici en minorité, il faut bien que je prenne les croutons que l'on me donne!
2630
Drayke a écrit:
@Iwena: Non, étrangement non, je n'ai aucune expérience, mais plusieurs choses m'énerve. La première, c'est que je m'estime comme un modèle d'équilibre mental, du coup, il m'est particulièrement difficile d'imaginer en quoi un tiers pourrait interférer dans ma vie.

Ensuite, comme je ne suis pas le centre de l'univers, et que tout le monde n'est pas moi. Je comprends que l'on puisse avoir besoin de se faire aider, mais ça ne m’empêche pas de penser qu'un intrus n'a pas à intervenir dans ta vie. Tu es la personne qui connait le mieux ton corps, ton esprit, ton expérience, en quoi aurais tu besoin d'une personne externe qui n'aura comme point de vue que ton récit seul(avec ta perspective donc) pour te juger et définir quels sont tes problèmes.

Finalement, j'ai un problème avec ces gens qui manipule l'esprit de personnes affaiblies et en détresse psychologiques pour les amener sur des conclusions honteuses et erronée, que penser de la fille qui va se mettre à détester son père, parce que, un psychologue l'a amenée à la conclusion fausse que la seule raison de son malêtre venait du regard incestueux que portait son père sur elle...

L'esprit est une chose trop importante et trop incomprise pour que l'on joue avec. Tant qu'ils ne seront pas d'accord entre eux sur la méthode à utiliser, les psychologues, psychiatres et psychanalyste pourront toujours aller se faire foutre! Je serais toujours là pour rappeler que nombres d'entre eux, ont trépané et lobotomiser leurs patients dans les années 50 "pour les soigner" (où utilisé un gode à moteur pour soigner des patientes de l’hystérie, avis aux amatrices...).


Je suis d'accord pour dire qu'il y a de bons et de mauvais psy.
Cependant, quand on est en souffrance, psychologiquement, je vois pas ce qu'on peut proposer d'autre ; et pour moi il vaut mieux que cette nana aille voir un psy plutôt qu'elle se lance dans des régimes drastiques qui vont la mener à l'anorexie.
Parce que si on élimine la profession de psy, tu fais quoi des bipolaires, des schizophrènes, des boulimiques, des dépressifs ? Comment tu les soignes ?
36 ans Mons (Belgique) 57
Écoute, je vais te parler en parfait néophyte, il se peut que je sois totalement dans l'erreur, que tu sois passé par l'un de ces trois états et en soit sorti grâce à un psychologue, aussi pardonne moi d'avance si je me fourvoie. Ma seule expérience est une amie boulimique que j'ai aidé du mieux que j'ai pu.

Je pense, que les groupes d'entre-aide à la manière des alcooliques anonymes, etc. (on le voit beaucoup dans les films américains) est la meilleure solution.

J'y vois bien des avantages, les expériences sont multiples et variées, il y un système de parrainage, une personne à appeler quand on est pas bien ou que l'on va replonger. Tu y vois des gens qui en sont sortis, des gens qui sont dans un état bien plus grave que toi.

D'une certaine façon, je pense que la conscience collective te permet de progresser plus facilement qu'en face à face avec un thérapeute. un cheval tire plus facilement une charrette lorsqu'il est aidé par deux trois de ses congénères ;)
36 ans Mons (Belgique) 57
j'en profite au passage pour ajouter, qu'un psychologue a tout intérêt à te garder puis ce que c'est toi qui finance la construction de sa villa à la campagne.

Le caractère désintéressé et la (quasi)gratuité du groupe de soutien est un facteur décisif pour pousser une personne à venir. :D

Au passage,tant que j'y suis, je suis aussi contre les anti-dépresseurs. :twisted:
2630
C'est facile de dire ça quand on est pas concerné.
35 ans Québec 465
J'aime bien que certaines montrent les dates, il y a en moyenne 3 ans qui séparent le avant du après, ce qui montre qu'elles ont sans doute changé leur mode de vie pour en arriver là, pas un simple régime miracle qui ne fera plus effet dans 2 ans.

J'ai noté une ou deux qui ont trop maigri selon moi, mais dans l'ensemble, si elles ont pris le bon chemin pour y arriver (changé leurs habitudes alimentaires et mis au sport quotidien sans se laisser crever de faim), alors tant mieux pour elles.

Mais j'avoue que la fille qui pose à côté de son «ancien elle» a l'air un peu disproportionnée... ses cuisses et ses mollets ont l'air énormes par rapport à sa taille, et son mollet droit semble plus gros que son mollet droit :?... Je ne sais pas si c'est dû à l'angle de la photo.
36 ans Mons (Belgique) 57
lwena a écrit:
C'est facile de dire ça quand on est pas concerné.


No guts, no glory, comme disent les anglophones! (pas de tripes, pas de gloire)

La vie est faites de haut et de bas, c'est ce qui fait son charme!

Si tu altère ta perception au moyen de pilule du bonheur, pourquoi ne pas boire de l'alcool ou prendre de la drogue à la place? C'est exactement la même chose.
E
36 ans 418
Drayke a écrit:
lwena a écrit:
C'est facile de dire ça quand on est pas concerné.


No guts, no glory, comme disent les anglophones! (pas de tripes, pas de gloire)

La vie est faites de haut et de bas, c'est ce qui fait son charme!

Si tu altère ta perception au moyen de pilule du bonheur, pourquoi ne pas boire de l'alcool ou prendre de la drogue à la place? C'est exactement la même chose.


Je me permets d'intervenir dans ce débat que je lis dpeuis le departs.

Sauf que l'alcool la drogue, detruisent , tuent.... Les anti depresseurs, nous maintiennent , nous aident a tenir le temps qu'on comprennent d'où vient le mal être, et qu'on a la force et les armes necessaires a y faire face, et s'en sortir! Et il est beaucoup plus simple d'arreter un traitement anti depresseurs, que de se sevrer de la drogue ou l'alcool....
Et je pense qu'il faut une bonne dose de tripe, pour aller demander de l'aide et admettre que l'on a besoin... Mais c'est un avis personnel , et peut etre pas objectifs.

Mais je trouve simpliste de dire, qu'il suffit d'un peu de courage et volonté, pour s'en sortir...
2630
Drayke a écrit:
lwena a écrit:
C'est facile de dire ça quand on est pas concerné.


No guts, no glory, comme disent les anglophones! (pas de tripes, pas de gloire)

La vie est faites de haut et de bas, c'est ce qui fait son charme!

Si tu altère ta perception au moyen de pilule du bonheur, pourquoi ne pas boire de l'alcool ou prendre de la drogue à la place? C'est exactement la même chose.


Pour un bipolaire, les hauts peuvent le pousser à se jeter d'un immeuble en croyant qu'il peut voler, et les bas à se suicider.

Il est facile de dire que les psy et les antidépresseurs ne servent à rien quand on en a pas besoin, mais faut pouvoir admettre que certains en ont besoin, c'est tout.
Et c'est pas une question de "tripes" ; les fragilités psychologiques, on ne les choisit pas et elles peuvent tomber sur le coin de la gueule de n'importe qui, n'importe quand.
52 ans Lorraine 4326
lwena a écrit:


Il est facile de dire que les psy et les antidépresseurs ne servent à rien quand on en a pas besoin, mais faut pouvoir admettre que certains en ont besoin, c'est tout.
Et c'est pas une question de "tripes" ; les fragilités psychologiques, on ne les choisit pas et elles peuvent tomber sur le coin de la gueule de n'importe qui, n'importe quand.


+ 1

Tu n'as p'tet pas traversé de graves choses du haut de tes 24 ans remarque ;-)

Voir un psy ce n'est pas voir un gourou, il faut avoir l'intelligence de travailler sur soi, de se remettre en question , de decouvrir des faces cachées de notre personnalité . Bref, c'est pas pour les faibles, au contraire.....

Mais toi tu es tellement fort et plein de principe que tu dois pouvoir guerir d'un cancer avec juste de la " volonté " :roll:
L
36 ans 209
Drayke a écrit:

No guts, no glory, comme disent les anglophones! (pas de tripes, pas de gloire)

La vie est faites de haut et de bas, c'est ce qui fait son charme!

Si tu altère ta perception au moyen de pilule du bonheur, pourquoi ne pas boire de l'alcool ou prendre de la drogue à la place? C'est exactement la même chose.


Il ne faut pas tout mélanger. Les anti dépresseurs n'ont rien à voir avec la drogue ou l'alcool. Ils te permettent de remonter un peu la pente et de pouvoir commencer un travail sur soi-même avec un psy. Ca n'a rien à voir avec la pilule du bonheur... ça te permet de souffrir un peu moins ou tout simplement de te dire que tu vas vers la porte de sortie. D'ailleurs, c'est pas parce que tu prends des anti dépresseurs que la vie est belle... quel cliché !
Selon moi, la dépression en elle-même altère tes perceptions : tout est négatif et ça ne peut pas être autrement. Les anti dépresseurs tendent à rééquilibrer ça : tout n'est peut-être pas aussi négatif que je le voyais.

L'alcool ou la drogue altèrent les perceptions, et t'enfoncent encore plus, ça n'a rien à voir.

Il faudrait peut-être éviter les raccourcis trop faciles sur ce sujet.
36 ans Mons (Belgique) 57
dans l'ordre :
@Mely888: Si tu as lu mon post précédent, tu as bien vu que j'y explique qu'un psy n'est selon moi pas la meilleure solution, pour une raison simple, TU ES SON PORTE MONNAIE et je propose une alternative(critiquer est facile, apporter des solutions bien plus dur).
Pour ce qui est de la deuxième partie relative à l'addiction, là n'était pas le sujet, je parlais de l’altération de la réalité par usage d'un produit.

Pense tu que le buveur bois parce qu'il est heureux? et que le drogué se drogue parce que c'est fun? (je parle des vrais, pas des ados en soirée) Du temps où je fréquentais l'école, je voyais des jeunes tous les jours s'allumer un joint avant les cours pour "échapper" à la réalité. Je ne vois pas en quoi prendre un anti-dépresseur est si éloigné que se "fumer un joint".

Citation:

La dépendance aux antidépresseurs

Les antidépresseurs peuvent provoquer une accoutumance psychologique, cependant ils ne provoquent pas de dépendance physique.
(source wikipedia) Tout comme le cannabis qui est considéré comme drogue, nan?

Explique moi selon toi quel est la différence(il s'agit d'une vrai question et tu as toute mon attention)

@Iwena : Tu me parle de cas extrême et d'exception, je te parle de généralité. Il est bien évident, que je ne proscris pas l'utilisation de ce genre de traitement!
Ça reviendrait à dire" les asiles psychiatriques ne servent à rien", une hérésie!
Je te parle de ces 15% de la population qui sont "en dépression". Combien sont vraiment des cas désespérés? Combien ont besoin d'un traitement médicamenteux alors que tout ce dont ils ont besoin, c'est un coup de pied au cul pour les faire se remettre la tête sur les épaules? Je ne sais pas si tu es d'accord avec moi, mais je crois qu'il est nécessaire de différencier les "vrais problèmes" (j'ai perdu mon enfant, je vais être mis hors de chez moi, j'ai été violée,...) des "first world problems"(j'ai cinq kilos en trop, je suis moche, mon petit ami m'a largué, je ne m'en sors pas à l'école, j'ai demandé un Iphone pour Noel, je n'ai eu qu'un Ipad...)

@Ladybuette : dans l'ordre aussi, J'ai 24ans, oui et? Tu en as 39, j'ai peut être vécu dans la rue, et toi, tu as peut-être vécue dans une chateau en or toute ta vie? Utiliser mon age contre moi, c'est de l'argumentum ad hominem (http://fr.wikipedia.org/wiki/Argumentum_ad_hominem) et ça n'a aucune valeur (à défaut d'argument, t'attaqueras tu à mes fautes de grammaire après?).

Je trouverais toujours quelqu'un pour me dire " tu es trop jeune", sans doute un type de 65ans qui me le dira quand j'en aurais 40. et quand j'aurais 65ans un africain me dira " tu n'as pas connu, la guerre, la faim, la soif, la maladie".

Ensuite ton deuxième paragraphe, il est consacré au psy, il faut savoir que quand je parle de tripes, je parle des anti dépresseurs, pas des psychologue, je vais toute fois te répondre.

Citation:
il faut avoir l'intelligence de travailler sur soi, de se remettre en question , de découvrir des faces cachées de notre personnalité.


Tu ne peux le faire chez toi? Tu ne peux le faire dans un groupe de discussion? Je suis ouvert au dialogue, explique moi en quoi le fait d'avoir un psy face à toi, est plus profitable que les solutions que j'aie exposée.

Troisième paragraphe, ironie et totalement hors propos, je parle de maladie "mentale" tu me parle de maladie physique. Non je ne peux guérir le cancer à mon grand regret, pas plus que je ne peux me lécher le coude, est ce que cela invalide mes propos pour autant?

@Lola35: j'apprécie que tu développe des arguments, j'ai honnêtement plus de mal à te répondre qu'aux trois autres. Sache que je parle en tant que néophite en la matière (je tiens à le rappeler même si cela figure en haut de la page), je ne demande qu'à en apprendre plus. Aussi je te pose la question, à partir du moment où tu comprends que tu as un problème, où tu sais que tu vas mal et que tu cherche à t'en sortir, pourquoi as tu besoin de médicaments pour le faire?

Si tu sais que tu as un problème, ce n'est pas un médicament qui va le résoudre à ta place. Prendre sa vie en main, demande de la force, mais si tu l'as de prendre tes médicaments, tu l'as pour te sortir de la merde également! (c'est un peu mon point de vue)

Finalement, je terminerais avec ma petite appréciation de la discussion, lorsque j'ai parlé des anti-dépresseurs, vous avez été quatre à réagir, mesdames, deux de 24ans, une de 25 et une de 39. Dans la mesure où vous réagissez de manière aussi virulente, c'est qu'il est évident que vous êtes concernées toutes les quatre. Aussi, il semblerait bien que l'âge n'aie rien à voir là dedans ;)

C'est mon rôle de vous titiller, sinon, à quoi bon réagir, si c'est pour mettre un "+1" sans aucune espèce de commentaire et appréciation. Chacun est libre de donner son avis comme chacun est libre de faire ce qu'il veut de ses fesses, et je ne demande qu'à écouter vos arguments pour changer d'avis sur la sujet. :D
B I U


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