L'épidémie d'obésité marque le pas en France

Il faut arrêter de coucher avec des rondes, c'est cela ?...


* J'arrête quand j'veux *

le_chat_du_cheshire a écrit:

Et si " quand j'veux " c'était maintenant ? T'en penses quoi ? Moi j'en pense que ça serait pas mal ! ;)

Oh, ce n'est pas vraiment la bonne période pour moi, et puis j'ai des engagements que je me dois d'honorer. Cela serait très néfastes pour ces demoiselles retrouvant une certaine estime d'elles-mêmes. Je me dois vraiment de respecter mon propre rôle social...

...Et puis de toute façon, je suis déjà contaminé...^^

MademoiselleK a écrit:

quel amalgame, dis?

pour l'obésité, chez les jeunes générations, est ce due uniquement à la malbouffe?

ou bien ce sont des soucis compensés par la bouffe?
qund je vois un gamin de 4 ans gouter d'un paquet de chips et d'une canette de soda, j'ai du mal à penser qu'il mange mal pour compenser qqe chose tout de même.

mais qu'il est mal nourri, à n'en pas douter, oui;

je n sais pas si je suis super claire... :shock:

blueberrycat a écrit:

Je vois ce que tu veux dire, mais même si je ne pense pas forcement qu'une canette de soda et un paquet de chips soit la meilleure option pour le gouter d'un enfant, je ne trouve pas que ce soit condamnable non plus, si c'est l'enfant qui le demande. Et quand je dis " pas condamnable " je ne veux pas dire que c'est super et qu'il faudrait faire ça tous les jours si l'enfant le demande, mais plutot qu'il faudrait à tout prix éviter de lui dire " non, ne mange pas ça c'est mauvais mange une pomme ", mais plutot lui proposer d'autres choses afin de diversifier ses gouts.

Quand je parle d'amalgame, je parle de l'idée " les obèses sont des fainéants qui passent leurs journées affalés sur le canapé à bouffer des chips "

tu as raison, je projette...
je trouve moi que ce n'est pas un goûter acceptable quotidiennement (en fait, ts les soirs, je passe sur une place où des gamins jouent et c'est toujours le style de leurs goûters).
et j'avoue, que ce n'est pas acceptable tout court (oui, je vais travailler là dessus ;) )

blueberrycat a écrit:

:kiss: :kiss: :kiss:

De toute façon, pour vendre, il faut des titres accrocheurs dépourvus de nuance...

Regardez le vocabulaire des journaux sportifs...

blueberrycat a écrit:

Mais tu sais, je ne sais pas si tu l'as déjà vécu mais dans mon enfance, toutes les brindilles ne mangeaient pas de la salade... Je veux dire jusque 18, elle mangeait facilement chip's, frites, chocolat twix bounty and co et faisait moins de 50.

Tandis que d'autres (moins nombreux) avaient une consistance plus ronde en mangeant la même chose. Je devais avoir à l'époque un enfant obèse et encore dans ma classe.

Bref j'ai l'impression que tout ça est avant tout une affaire de métabolisme. peut être de malbouffe en plus mais le métabolisme y joue beaucoup.

Et bien moi ça me choque parceque cela pose clairement l'obésité comme une maladie ce qu'elle n'est vraiment pas à mon avis. Premièrement parce que ce n'est qu'un symptômes d'autres maladies (psychologiques et/ou métaboliques ) et que cela regroupe sous un terme des réalités très (trop) diverses pour avoir une valeur statistique et épidémiologique.

Deuxièmement parce les problèmes de santé supposés qu'elle provoque (ce que MlleK appelle étrangement symptômes alors qu'on pourrait plus parler de complications selon moi ) ne sont pas du à l'obésité en elle même mais plutôt à l'inactivité et à une alimentation riche en sucres rapides et en graisses hydrogénées et/ou saturées. Si en plus on sépare l'obésité abdominale du lot on en arrive à un lien obésité/trouble de santé très hasardeux.

Le fait d'être un homme augmente les "chances" d'une maladie cardio-vasculaire, parle-t-on d'épidémie de chromosme XY ? De la même manière les conducteurs de grosse cylindrée ont plus de chance de mourir d'un infarctus, on ne songerai pourtant décemment pas à faire du nombre de chevaux un outil de santé publique.

Parce que, pour moi la vraie question ici est la pertinence en terme de santé publique de ces mesures épidémiologiques basées sur l'IMC. Comme d'habitude les études vont mettre 30 ans à parvenir jusqu'au décideurs et aux praticiens et on va encore entendre de pareilles énormités pendant 30 ans.

Pour moi l'épidémie d'obésité est un symptôme et la maladie est ailleurs, dans l'industrie agro-alimentaire, dans la sédentarité imposée de nos modes de vie. Mais c'est plus simple de dire aux gens qu'ils sont gros, qu'ils se laissent aller et que c'est de leur faute ils avaient qu'a manger de la salade. ça coûte moins d'argent et ça permet aux industriels de s'engraisser tranquillement sans que personne ne leur reproche leur prise de poids (économique) sur le dos des consommateurs.

Je ne vois pas en quoi c'est " étrange " d’appeler l'hypertension un "symptôme" du à l'obésité si il est avéré que c'est celle ci qui la provoque.

" J'ai un surpoids qui fait que j'ai de l'hypertension ", l'hypertension est donc un symptôme de mon surpoids.

Ce sont les termes médicaux. Il n'y a rien d'insultant là dedans.

Sur le reste je suis relativement d'accord avec toi

http://sante.doctissim...ion-de-l-obesite-diminue-.html



:-k

PrincesseViviane a écrit:

C'est grâce à la ra ! :D

voici le commentaire d'un internaute qui me fâche :

autistique, le 17 Octobre 2012 à 17:42

Ils considèrent qu'un IMC est « normal » jusqu'à 24,9, mais
c'est beaucoup trop (sauf exceptions athlétiques…). Simplement
il ne serait pas politiquement correct (cela ne serait pas
consensuel) de dire qu'il n'y a qu'une poignée de Français qui
ne sont pas en surpoids ni en surgras.


EH BIEN je ne suis pas sortie d'affaire avec ce genre de com surtout si c'est vrai qu'on nous cache des choses :evil: