lieu public vih

Chantillyfraise a écrit:
Ce genre de conversation. Entretenir des rumeurs, faire naitre des suspicions débiles (dont il reste toujours quelque chose, genre "ah ouais c'est pas vrai mais y'a pas de fumée sans feu alors on ne sait jamais"). Nuire à quelqu'un/quelque chose, parfois.

Je me renseignais auprès de vous et vous m'avez donné la réponse, merci.

Angia a écrit:

pour moi: du moment que c'est classé "légende urbaine", ça ôte toute miette de crédibilité.

mais, c'est pour moi....

Angia a écrit:

Tu vas me faire rougir! :oops:
Et ça tombe bien, car j'aime bien parler de ce que j'ai pu lire ( les légendes urbaines, c'est un truc que j'aime beaucoup. Et, en bonus, une traduction d'un passage de Brunvand, où en effet on voit qu'il a pas mal d'humour
C'est à propos de la légende de la femme qui, à force d'UV excessives, a ses organes internes cramés.
"Le médecin lui déclare: "Essayer de vous soigner serait comme cuire un steak et essayer de le ramener à la vie" ( Parce que ramener un steak cru à la vie est bien sûr très facile!)"

Chantillyfraise a écrit:
Ben alors pourquoi tu demandes à supprimer la conversation?

(oui, je suis de mauvais poil, mais on n'est pas une version jetable de Google ici. Si tu as des questions et que seule la réponse t'intéresse, alors tu vas sur un moteur de recherche. Ici c'est un forum de discussion, alors on discute, et ce n'est pas à la personne qui a lancé la discussion de décider si ça doit être supprimé ou non. Oui, je suis de mauvais poil).

Angia a écrit:

A la base d'un hoax, il y a bien sûr le canular, ou se faire mousser. Mais les légendes urbaines ont généralement un but et une origine plus profond: se rassurer, avertir sur les dangers potentiels de la vie et vivre avec des peurs ancestrales et instinctives ( je cite mes auteurs!) Donner un nom précis permet d'ancrer sa peur dans la réalité.
Un autre exemple: l'autostoppeuse poilue. Le pitch: une femme seule, plus ou moins jeune, prend en stop une vieille dame ( ou jeune et désespérée), qui met son sac dans le coffre. Lors du trajet, la conductrice remarque que sa passagère a les mains étrangement grandes et poilues, et la fait descendre sous un faux prétexte avant de partir. Pensant au sac, elle apporte le sac chez les flics, qui y trouvent dedans une hache ensanglantée.
Interprétation: la crainte de l'étranger, le fait qu'une femme seule doit se méfier et ne pas donner sa confiance, même à une autre femme. Les auteurs des livres cités montrent l'ancienneté de ce motif en le comparant avec des contes et des récits plus anciens.

Chantillyfraise a écrit:

Oui, tu as raison, arrête là...

Angia a écrit:

Bah je n'ai pas trouvé sur google et hoax je ne connaissais pas...
Sur le coup, ça part d'une bonne intention, je me suis dis dans le doute je partage que les personnes soient averties et fassent attention. Ensuite, on m'a confirmé que c'est faux donc cette discussion ne sert pas sauf si quelqu'un cherche sur google et tombe ici.

en fait, les légendes urbaines, ce sont un peu comme les comtes de Grimm et Perrault?

Ben justemment, le quelqu'un verra que c'est une légende urbaine...

LovelyLexy a écrit:

Ton exemple m'a fait marré car j'ai pensé à Ben Stiller prenant en auto stop un serial killer dans le film "Mary à tout prix".

blueberrycat a écrit:

Plus comme les légendes d'autrefois ( dont Perrault et Grimm ont tiré leurs contes), qui servaient d'exutoire aux peurs inconscientes ( les légendes urbaines sont un mélange intéressant de vieilles et nouvelles peurs) et de mise en garde.

wildtendercat a écrit:

Les scénaristes ont du entendre la légende et s'en inspirer... Quoique, crois moi, quand on lis la légende et son anlyse, c'est pas trop poilant...

Marée, marrée, marrer