gurgle a écrit:finette a écrit:gurgle a écrit:Et puis, que certains profitent de la misère humaine, c'est pas nouveau non plus...le mieux à faire, c'est d'essayer de se trouver du bon côté de la barrière!!
Je sais pas si je dois en rire ou en pleurer.
Purée, en cas de guerre entre ta réponse et celle de son altesse j'ai l'impression qu'on reviendrait vite fait au bon vieux temps de la collaboration.
J'imagine que ça aussi, c'est dans la nature humaine, pas besoin d'essayer de lutter contre ? :roll:
ah j'ai pas dit ça!! ni que je cautionnais ou qu'il fallait laisser faire d'ailleurs (si ça a été interprété comme ça, c'était pas voulu). je constate et fait la remarque que ça n'a rien de nouveau ni d'exceptionnel ce genre d'attitude, alors que ça a l'air de choquer tout le monde! tu peux essayer de combattre ce genre de procédés, il n'empêche qu'ils ont toujours existé, existent encore et existeront quand nous ne seront plus là pour nous en offusquer. sous différentes formes, avec différents moyens. Parce que la misère humaine est toujours "exploitables" pour une poignée de dégueulasses sans foi ni loi...
Quel rapport avec la collaboration?? je trouve que l'amalgame sur le marché noir serait plus approprié, puisque certains n'hésitaient pas à faire fortune sur le dos d'autres qui mouraient de faim... mais bon c'est un autre débat
Ah bon, ben on s'est mal comprise alors et je dois avouer que je préfère cela.
Je parlais de collaboration parce que justement, en collaborant, on espére être du bon côté et échapper ainsi aux maux qui touchent les autres. C'était donc en rapport avec le "bon côté".
Et pour en revenir au fait que ça me choque, c'est pas parce qu'une majorité à une attitude pourrie ou qu'une attitude pourrie perdure à travers les siècle que cela doit la rendre acceptable.
Donc, il y a fort à parier que des gens continuerons d'être offusqué et continueront de dénoncer ce genre d'attitude, même après notre disparition (enfin je l'espère, parce que sinon ça va être chaud).
Et pour en revenir à ganateme 1er, je sais pas comment tu apelles, vouloir profiter d'un avantage, si infime soit il, pour obtenir des choses que sans cela on n'aurait jamais pû avoir, mais moi j'appelle cela profiter de la détresse d'autrui (ou être un salaud, au choix).
D'un autre côté, être un salaud, c'est un choix, pas une obligation, on est d'accord.