56 ans
Out of Africa...
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Femmes sous emprise : Les ressorts de la violence dans le couple (Broché) de Marie-France Hirigoyen
Aurel, si tu peux te le procure
Aurel, si tu peux te le procure
56 ans
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MaryMorgane a écrit:
Ce genre de
Il a de la chance que ça soit toi car avec moi, il avait plusieurs options mais qui ne lui auraient pas plu :
Ce genre de
message me paraît culpabilisant.
Imagine une personne mince dire à une personne obèse par exemple : "Ah mais moi, je ne grossirai jamais comme ça ! J'ai de la volonté moi !"
Que pourrait ressentir la personne obèse ?
Pour le moment Aurel ne peut pas envoyer ballader son mec parce qu'elle penser mériter ce traitement, parce que peut être elle n'a jamais connu autre chose et que ça lui paraissait, jusqu'alors, peut être NORMAL. Rien de maso dans ce type de comportement.
Laissons lui le temps de réaliser que non, ce n'est pas normal justement. Faisons taire notre impuissance et cette impression de n'être pas entendue, parce que ça nous appartient
Imagine une personne mince dire à une personne obèse par exemple : "Ah mais moi, je ne grossirai jamais comme ça ! J'ai de la volonté moi !"
Que pourrait ressentir la personne obèse ?
Pour le moment Aurel ne peut pas envoyer ballader son mec parce qu'elle penser mériter ce traitement, parce que peut être elle n'a jamais connu autre chose et que ça lui paraissait, jusqu'alors, peut être NORMAL. Rien de maso dans ce type de comportement.
Laissons lui le temps de réaliser que non, ce n'est pas normal justement. Faisons taire notre impuissance et cette impression de n'être pas entendue, parce que ça nous appartient
56 ans
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4355
54 ans
chantilly
290
Freudette a écrit:
MaryMorgane a écrit:
+1 Excellent.
Quand j'ai lu le message d'Aurel, je me tournée vers mon mari et je lui ai dit : "Toi, t'aurai essayé de me parler comme ça, tu te serait pris une assiette dans la gueule... et peut être aussi ma main".
Je ne sais même pas comment tu fais, d'un côté j'ai pitié et de l'autre ça m'ennerve que tu te laisses faire.
J'en reviens pas, j'en parle en ce moment avec mon mari, je lui "mais comment tu te serais pris une tarte dans la gueule pour m'avoir parlé comme ça", il me répond: "et je l'aurai bien mérité".
je partage le même sentiment que toi...avec quand même plus d'énervement que de pitié..
Il a de la chance que ça soit toi car avec moi, il avait plusieurs options mais qui ne lui auraient pas plu :
1) se prendre l'assiette en pleine tronche et que je parte ensuite en claquant la porte
2) que je lui pose une assiette vide sur la table en lui disant "tiens, ton assiette est prête et demmerde toi pour la remplir" et que je parte en claquant la porte
3) que je me prépare à manger devant lui et que je mange toute seule devant lui et que s'il dise quelque chose je lui réponde "Ah, pardon, j'ai cru que tu parlais à un chien avec aussi peu de respect donc j'ai considéré que le chien te préparait ton repas et que ça ne servait à rien que je m'en occupe. Et ne pense même pas à m'en coller une sinon, je te préviens, ça se finira avec les flics voir plus si affinités. Dorénavant, soit tu accepte que je suis ta copine et pas ton esclave soit tu me laisse partir sans chialer comme un gamin à qui on vole son jouet. Capiche?"
1) se prendre l'assiette en pleine tronche et que je parte ensuite en claquant la porte
2) que je lui pose une assiette vide sur la table en lui disant "tiens, ton assiette est prête et demmerde toi pour la remplir" et que je parte en claquant la porte
3) que je me prépare à manger devant lui et que je mange toute seule devant lui et que s'il dise quelque chose je lui réponde "Ah, pardon, j'ai cru que tu parlais à un chien avec aussi peu de respect donc j'ai considéré que le chien te préparait ton repas et que ça ne servait à rien que je m'en occupe. Et ne pense même pas à m'en coller une sinon, je te préviens, ça se finira avec les flics voir plus si affinités. Dorénavant, soit tu accepte que je suis ta copine et pas ton esclave soit tu me laisse partir sans chialer comme un gamin à qui on vole son jouet. Capiche?"
+1 Excellent.
Quand j'ai lu le message d'Aurel, je me tournée vers mon mari et je lui ai dit : "Toi, t'aurai essayé de me parler comme ça, tu te serait pris une assiette dans la gueule... et peut être aussi ma main".
Je ne sais même pas comment tu fais, d'un côté j'ai pitié et de l'autre ça m'ennerve que tu te laisses faire.
J'en reviens pas, j'en parle en ce moment avec mon mari, je lui "mais comment tu te serais pris une tarte dans la gueule pour m'avoir parlé comme ça", il me répond: "et je l'aurai bien mérité".