Végétariens/végétariennes?

Et il y a beaucoup de disons dans tout ça ! ^^
Pour répondre au fait que les gens qui lancent ce sujet de conversation ne se doutent pas qu'ils sont barbants avec leurs questions, pensant être les premiers à la poser ; oui c'est vrai, et je ne leur en veux pas, même, ce n'est pas ça qui me dérange. Ce qui me dérange, c'est les regard dégouté (et les remarques réprobatrices qui vont avec, sinon ça ne serait pas drôle) devant mon steak de tofu ou de thon, les "tu devrais goûter ces saucisses, vraiment, tu ne sais pas ce que tu rates !", les "je ne comprendrais jamais les gens comme toi !", et j'en passe... C'est ça qui m'insupporte, et j'appelle pas ça lancer une discussion !

robinetterie a écrit:

Oui mais cela c'est vrai pour toute différence. Quand on est une grosse qui s'assume et qui vit bien son surpoids, on a parfois des réflexions du style "je ne comprends pas comment tu fais, moi je ne pourrais pas" "t'as pas peur pour ta santé" "c'est dommage, t'as un tellement joli visage" etc... Des remarques je pense qu'on peut avoir sur tout les sujets, il peut nous arriver de faire soi-même une remarque qui déplait sans vouloir être désagréable.

Comme je ne peux pas changer les autres, j'essaie de m'interroger sur le pourquoi de mon agacement ? Est-ce que le fait que ces gens pensent que je suis pénible car j'aime pas beaucoup de choses à manger fait que je dois m'excuser ou autre ? Je ne le pense pas, donc l'agacement passe assez vite. De plus il y a des personnes qui disent des choses un peu par automatisme mais c'est pas obligatoirement méchant.

Il y aura toujours des gens qui ne nous comprendrons pas dans nos choix de vie et qui nous en ferons la remarque. Si on ne sent pas obligée de se justifier, on peut penser que c'est leur avis sans que cela enlève de la valeur à nos choix. On trouvera aussi sur notre chemin, des gens qui comprennent nos choix ou qui ne se sentent pas obligés de faire une remarque sur un choix de vie différent.

Yuutsu a écrit:

Oui, très drôle en effet, je n'y avais pas pensé :lol:

Saralou a écrit:

Je ne bois pas non plus d'alcool, parce que je n'aime pas le goût. Je ne bois pratiquement que de l'eau, peu de lait, de jus et jamais de boissons gazeuses parce que je n'aime pas ça. Je ne bois pas de café non-plus pour la même raison et en ce moment je tente le thé, mais ce n'est pas un automatisme. Bref je carbure à l'eau. Alors oui, on me trouve barbante en soirées. De temps à autres je vais prendre un drink jus de fruit quelconque avec vodka, mais c'est tout et c'est rare, pas de bière, pas de vin. Je laisse tous les autres boire comme ils veulent, alors je ne sais pas pourquoi ça dérange les gens que je ne boive pas. Il y a 3 ans, j'étais en visite chez des cousins en France, et quand je disais que je ne buvais pas, c'était la surprise totale, c'est tout juste s'il n'y avait pas un évanouissement. Et pendant un barbecue, il y avait une de mes cousines et son mari qui est musulman et ne boit d'alcool. Je n'ai rien contre ça, mais j'étais subjuguée de constater qu'on trouve normal qu'une personne ne boive pas d'alcool parce que c'est exigé par des convictions religieuses, mais si c'est juste parce que t'aime pas ça, t'es pas normal. Je fais toujours le parallèle avec les goûts alimentaires. Pas tout le monde, mais beaucoup de gens ont un aliment en particulier en aversion, et moi c'est le poivron. Depuis toujours, je déteste les poivrons. Ben quand je le dis, on répond «ah d'accord», on ne tente pas de me convaincre d'en bouffer parce que «je vais m'habituer au goût». Pourtant c'est ce qu'on me dit avec l'alcool. Pour moi, boire c'est seulement pour étancher ma soif, c'est vital, ça n'a rien d'un «plaisir» (dans le genre qu'on recherche en mangeant un truc qu'on trouve bon, même si on n'en a pas réellement besoin) et ça n'a rien de social, je bois de l'eau parce que j'ai soif point. Bref, petit intermède sur l'alcool...

zazanounette a écrit:

Moi, c'est un peu comme robinetterie concernant l'impact environnemental (faut quand même bien choisir son poisson et faire attention à la surpêche), sauf pour ce est qui de l'intelligence, ça n'entre pas en ligne de compte quand je décide de manger un truc. Et c'est quand même plus simple d'être pescovégétarien quand on sort, au resto et tout, et je dois avouer que j'aime le goût.

Pour revenir sur ma question de départ à laquelle il y a eu plusieurs réponses dont «les gens sont pas mesquins, eux ils posent la question pour la première fois». Je suis tout à fait d'accord. Si ça se résume à «Pourquoi?» réponse :«Raisons environnementales» «Ah d'accord», alors ça va et on enchaîne sur le temps qu'il fait. Ce que je déteste c'est justement ceux qui insistent et ce n'est pas si rare que ça «Pourquoi du poisson alors.» j'explique ce je vous ai dit plus tôt «T'es pas une vraie végétarienne, c'est pas logique.» Mais de quoi je mêle?! «Moi je pourrais pas.» «C'est stupide ces substituts de viandes - fausses saucisses, fausses galettes de viande... - est-ce qu'on fait ça nous prendre un steak, le teindre en vert et dire «goûte c'est comme du brocolis!» Une fois de plus, mais de quoi je mêle?! Une fois j'ai participé à un évènements où les repas étaient compris, mais ils n'avaient pas prévu des végétariens dans leur truc. On était deux. On leur a dit, on est seulement deux, est-ce que c'est possible de faire un petit truc sans viande? Ils ont préparé un plein chaudron de soupe, genre industriel... Merci beaucoup, c'était apprécié, mais après ils nous disent «Qu'est-ce qu'on va faire du reste?» Nous accusant de les avoir fait gaspiller de la soupe, alors qu'on avait bien dit qu'on était que deux, on va pas se défoncer le bide parce que t'as été con.

Et puis, je ne suis pas une végétarienne «enragée» - parce que ça existe aussi - je ne veux pas convertir les autres, qu'ils mangent de la viande s'ils veulent. Bon c'est vrai que je serais d'avis qu'une diminution de la consommation de viande pourrait être bénéfique à l'environnement, mais ce serait pas obligé de cesser toute consommation, seulement plus responsable. Bref, je ne trouve quand même pas normal que dans un buffet, ou un évènement nous proposant trois ou quatre plats comme un mariage ou autre, qu'on n'offre pas au moins une option sans viande. Je ne trouve pas normal qu'on considère qu'il faille manger de la viande à chaque repas. Comme je dis, si t'as envie de le faire, fait-le, mais laisse aux autres le choix de manger autre chose aussi. Ce n'est pas nécessaire de manger de la viande tout le temps. Et un autre argument des «carnivores enragés» (c'est comme le végétarien enragé, pas d'offense à personne, je parle des extrêmes qui défendent leur steak bec et on ongles) c'est «la meilleure source de protéine c'est dans la viande rouge, même ton soja et ton tofu le font pas.» FAUX, la meilleure source de protéine est dans la palourde, c'est dit.

Ouf, je viens d'écrire un roman...

MErci Robinetterie et libellule pour vos réponses !

Et personnellement je préfére faire à manger pour un végétarien que pour quelqu'un de super difficile. Je peux comprendre qu'on fasse le choix de ne pas manger telle ou telle chose. Pas de soucis je m'adapte. Mais ce qui me rend dingue c'est "ah non mais j'aime pas, et ça non pu et puis ça beurk" alors que la personne n'a même pas goûté -_-.

zazanounette a écrit:

Tout à fait d'accord avec toi. L'an dernier, je suis allée en Grèce et j'ai mangé de la pieuvre pour la première fois, j'ai trouvé ça délicieux. Et parmi les gens avec qui je voyageais, il y en avait plein qui ne voulaient pas goûter, ils disaient simplement «beurk», comment ça beurk, tu n'y a pas goûté, moi si et je t'assure que c'est délicieux. Et après, le pire qui puisse arriver c'est que tu n'aime pas, tu ne t'empoisonnera pas! Ces gens m'exaspèrent, surtout en voyage, pourquoi tu voyages si tu ne veux pas manger la bouffe locale?! Je suis vraiment du genre à vouloir goûter, en voyage surtout, je fais même des entorses à mon régime végétariens parfois, parce que je me dis que ça fait partie de l'expérience de manger local en voyage.

Je n'ai jamais gouté aucun fruit de mer, même pas une crevette, je fais donc partie de ses gens "chiants" ;) .

Je suis très délicate et si je me force à gouter quelque chose qui me dégoute de base, je vais vomir tout simplement, c'est ce qui se passait quand j'étais petite en tout cas. Depuis que je suis adulte et libre de mes actes, je n'ai jamais vu la raison de me forcer à manger quelque chose qui ne me fait pas envie.

C'est la raison pour laquelle je m'en fiche depuis longtemps des remarques car je n'ai pas envie d'avoir envie de vomir même si cela ne tue pas effectivement ;) .

C'est comme le vin, je ne veux même pas gouter et alors, dans le fond quel est le problème ?

Là je vais partir en ecosse et si je gouterai le porridge car cela ne me dégoute pas, je ne gouterai pourtant pas le haggis ni aucun poisson ou fruit de mer car je ne vois pas la nécessité de m'imposer cela. Franchement avoir la nausée pour faire plaisir à quelqu'un cela ne m'intéresse pas.

Les remarques du style, "m'enfin tu ne vas pas mourir pour une bouchée, comment tu peux dire que tu n'aimes pas puisque tu n'as pas gouté" ne me touchent pas plus que cela.

Et les gens qui m'invitent ne se cassent pas la tête car ils savent que je trouve toujours un féculent ou des légumes qui me plaisent donc pas de souci pour mes hôtes.

M'enfin si tu vomis c'est compréhensible quand même. Moi ce sont les abats qui me donnent la nausée. Donc effectivement je n'en goute plus.
je parlais vraiment des gens qui ne veulent pas faire l'effort de gouter des nouveaux trucs. Ou pire qui disent ne pas aimer un bidule alors que quand tu leur en fait manger miracle ils aiment ! Et je parle même pas de gouter des choses extraordinaires! LA dernière fois y'avait une nana chez moi qui a fait une mine dégoutée devant des toasts poire + fourme d'ambert. Déjà je suis trouve ça très malpoli de regarder un plat genre "c'est de la merde" et en prime ce mélange à rien de bizzare. Sachant qu'elle ne mange pas d'oignons, pas de poivrons, du jambon quand elle veut bien, pas de poireaux etc.Et surtout elle n'aime pas une chose d'une fois sur l'autre. Mais par contre c'est la première à gueuler parce qu'elle a faim après...Rien que d'en parler je m'énerve =D.

je comprends ce que tu veux dire, mais on est pas dans la tête de ton amie, elle a peut être des problèmes avec la nourriture, cela n'a rien à voir avec toi, elle ne le fait certainement pas exprès pour t'embêter.

Pour ma part, j'en ai entendu tellement que j'étais trop chiante de ne pas aimer ceci ou cela, de ne pas vouloir gouter. Ma belle-mère s'y est cassé les dents et a du déclarer à chaque dimanche ou on mangeait, mon dieu comme tu es compliquée, c'est pas possible, si j'avais été ta mère et bla et bla.

Si j'avais peur d'avoir faim, je prenais un truc avec moi dans mon sac que je mangeais après le repas (avec les remarques "tu vois si t'avais mangé tel ou tel truc tu n'aurais pas faim". Peut être devrais-tu suggérer à ton amie de prendre avec elle des choses qu'elles peut manger. Dans ma famille il y a des intolérants au gluten et allergiques à la caséine, alors même si on fait en fonction d'eux, ils prennent toujours avec eux, des galettes ou des choses qu'ils peuvent manger pour ne pas avoir faim.

Tu peux expliquer à ton amie, que cela te dérange qu'elle ait encore faim quand elle part de chez toi, donc tu te sentirais rassurée si elle avait avec elle de quoi complèter le repas si jamais.

Mais je redis, la plupart de gens acceptent mes gouts sans remarque ou alors une petite plaisanterie du style "ah oui c'est vrai toi t'aimes RIEN" . Il y a des gens à qui j'ai tenté d'expliquer que je ne goute pas car j'ai peur de vomir si cela me dégoute et qui trouvent que "je fais du cinéma" "t'es bizarre" "je suis sure que tu exagères".

Du coup je ne vois pas pourquoi je devrais me justifier. Je ne dis pas c'est dégueulasse, je dis "je n'aime pas" je n'ai plus faim, je suis assez compliquée dans mes gouts, bref j'essaie vraiment de faire comprendre aux gens qu'ils ne sont pas responsable de mon état.

Pour les gens qui font les remarques qui peuvent déranger, c'est aussi bizarre d'être végétarien et de manger du poisson que de ne pas vouloir gouter quelque chose. Il faut l'accepter, tout le monde n'a pas à comprendre nos choix puisque nous même ne comprenons pas les choix de tout le monde :D .

Je crois qu'on connait la même personne ! ^^ J'ai une connaissance qui, lorsqu'elle était invitée chez moi, ne pouvait miraculeusement jamais rien manger de ce qu'on lui proposait, et pourtant c'était jamais rien de très spécial : des cakes, des quiches... On devait systématiquement lui faire son plat de pâtes, ce qui est quand même assez spécial lorsqu'on est invité chez quelqu'un ! En fait, c'est une question d'éducation : depuis toute petite, ses parents ne l'avaient jamais obligée à manger ce qu'ils préparaient, elle avait toujours eu droit à des pommes de terre ou des pâtes (les seuls aliments qu'elle accepte). Au final, elle n'avait jamais été habituée à gouter de nouvelles choses ni à se contenter de plats qui ne lui plaisent pas trop... Ajouté à une notion très basique de la politesse, voilà ce que ça a donné !

robinetterie a écrit:

Cette personne a certainement des tocs alimentaires qui ont été renforcés par ses parents .

Ma belle-soeur souffre de tocs et ses parents croyant bien faire ont renforcé cela par leur attitude. Ce qui fait que quand les tocs sont apparus chez mon fils, nous avons fait une thérapie comportementale, c'est très dur, cela a été une année bien difficile pour lui et pourtant maintenant il complètement guéri, donc cela valait la peine. Mon fils a aussi eu des tocs alimentaires. Pendant une année, un toc disparaissait, un autre apparaissait.

C'est pour cela que dans mon message précédent, je disais que ces personnes ont peut être des problèmes avec la nourriture.

Quand on est adulte c'est bien plus difficile et douloureux de se débarrasser de tocs. Ma belle-soeur, malgré ses diverses thérapies n'a pas réussi à s'en débarasser complètement, elle arrive à avoir une vie à peu près normale c'est déjà pas mal.

Maintenant, rien ne te force à faire chaque fois des pâtes pour cette personne, si elle n'arrive pas à manger autre chose, soit elle ne viendra pas, soit elle prendre son tupperware de pates avec.

J'essaye de respecter les choix (ou les obligations) alimentaires de tout le monde mais je dois t'avouer, Saralou, que parfois c'est très frustrant pour moi de recevoir des gens "compliqués" ;) comme toi. Parce que j'aime beaucoup faire la cuisine, j'aime choisir mes produits et les accommoder et surtout pour moi partager ma cuisine avec les autres (et qu'ils trouvent ça bon) c'est très important pour moi. C'est important parce j'aime bien apporter du plaisir aux gens, et je pense que c'est aussi important parce que c'est bon pour mon estime de moi que les gens aiment ma cuisine (ben oui, voilà un truc au moins que je sais bien faire! ;) ). Donc quelqu'un qui me dit "fais moi des pâtes ça ira très bien" (bon, je caricature un peu) c'est difficile pour moi parce que d'une part j'ai l'impression de ne pas réussir à partager quelque chose, et d'autre part, c'est idiot je sais, mais je le ressens un peu comme un rejet.

Bon, comme dit au début je m'efforce quand même de respecter chacun et, si je suis prévenue à l'avance, j'essaye justement de trouver un plat original et bon qui pourra convenir. Mais je voulais juste témoigner que parfois si les gens ne comprennent pas, ou réagissent plus ou moins intelligemment, face aux gens avec "des goûts difficiles", ce n'est pas juste par méchanceté! ;)

Et heureusement il y a d'autres occasions que les repas pour connaitre et apprécier les gens et échanger avec eux!

Par contre à l'inverse j'aime bien aller manger chez des gens qui ne mangent pas pareil que moi, c'est l'occasion de découvrir des choses...
(bon, je me rends compte que j'ai besoin d'une psychothérapie de la cuisine, moi... :-k )

non, non sarnia je sais bien que ce n'est pas par méchanceté.

Moi si ce n'est pas un animal ou un truc trop bizarre je goute toujours. Si je n'aime pas je m'arrange très discrètement avec mon mari ou avec un de mes fils pour qu'il le mange.

Je sais aussi que cela fait plaisir à la maitresse de maison, je fais aussi des invitations.

Mais je pense que la personne qui peut manger QUE des pates a un toc alimentaire et que c'est une maladie plus qu'autre chose.

La plupart du temps, je suis une convive tellement agréable que les gens ne regrettent pas de m'avoir invité même si je n'ai pas mangé tout le plat. Je félicite de toute façon la personne qui a cuisiné car c'est un investissement de temps et de travail.

Les personnes qui m'invitent me connaissent bien et c'est rare que tout le repas soit composé de choses que je n'aime vraiment pas. Les seules choses que je ne mange pas du tout c'est ce qui est à base de fruit de mer ou s'il y a de l'alcool. Je peux tout à fait me forcer à manger de la viande si on ne voit pas que c'est un animal.

Par contre, du coup quand j'invite quelqu'un et qu'il n'aime pas ce que j'ai fait du coup cela ne me stresse pas (bon si tous les invités pensent que c'est pas bon, cela me stresserait quand même ;) ).

En fait le repas n'a peut être pas pour moi la place qu'il a pour les autres. Pour moi c'est les nourrir et ensuite passer une bonne soirée. Le côté on fait un plat de spaguetti et on passe un bon moment me va très bien également.

Comme tu dis, heureusement qu'on avoir des échanges autrement ;) . Et non, tu n'as pas besoin d'une psychothérapie de la cuisine tu sais, je suis compliquée point de vue de la nourriture, je sais pas trop pourquoi. Certainement car on m'a réellement forcé à manger des choses qui me dégoutaient quand j'étais petite, donc je ne demande pas aux autres qu'ils se soignent à ma place :mrgreen: :kiss:

En ce qui concerne la personne dont je parlais, il s'agit de quelqu'un de très capricieux, et je ne pense pas que la santé ait quoi que ce soit à voir dans son problème ! Je conçois tout à fait que certaines personnes aient de réels troubles alimentaires, mais ce n'est pas le cas de tous : il y a des gens qui sont réellement difficiles car ils ne veulent pas se donner la peine d'essayer, et qu'ils ne se retiennent pas d'être capricieux : moi-même, il y a des aliments que je n'apprécie pas spécialement ; mais quand je suis invitée chez quelqu'un qui les cuisine, je me force à honorer le plat, c'est la moindre des politesse ! (du moins, lorsqu'on n'a pas de problème de nausées comme toi, ou de toc alimentaires tels que tu les décrivais)