40 ans
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le problème, c'est que lors d'une rupture, celui (ou celle bien sur) qui se fait lourder peut avoir tendance à abuser de la pitié et de la tendresse de l'autre pour se plaindre continuellement et toujours demander une ultime mise au point, une ultime conversation.
et ça, une fois qu'on a mis le doigt dedans, c'est infini !
ce qu'il faut comprendre, c'est que lorsqu'on largue quelqu'un, on peut (et on doit sans doute) y mettre les formes et ménager le plus possible l'autre (enfin ça dépend de ce qu'on a vécu je dirais), mais on ne peut pas soulager sa peine et être à son écoute. c'est malsain d'essayer et selon moi impossible, vu qu'on est soi même la source de ce malheur.
par contre, les amis dont tu fais apparemment partie Séverine, sont là pour remplir ce rôle et soutenir la personne qui est seule et malheureuse.
et ça, une fois qu'on a mis le doigt dedans, c'est infini !
ce qu'il faut comprendre, c'est que lorsqu'on largue quelqu'un, on peut (et on doit sans doute) y mettre les formes et ménager le plus possible l'autre (enfin ça dépend de ce qu'on a vécu je dirais), mais on ne peut pas soulager sa peine et être à son écoute. c'est malsain d'essayer et selon moi impossible, vu qu'on est soi même la source de ce malheur.
par contre, les amis dont tu fais apparemment partie Séverine, sont là pour remplir ce rôle et soutenir la personne qui est seule et malheureuse.