Tu sais... Nash, je comprends ta peur de la solitude, vraiment...
Je la vis enc e moment, en plein dedans...
MAis alors vraiment...
Et tu sais : je survis, comme dit Jazz, ça fait mal, mais on survit,
et on reprend gout à certaine chose...
Moi je ne me suis jamais sentie aussi bien à la bibliothèque, ou en restant sur le parvis de beaubourg, ou sentir une brise fraiche le matin, ouq uand j'arrive à manger qq chose : je ssui fière..
Je m'en sors seule, il y a personne pour m'aider, mais vraiment...
Je n'ai vraiment pas d'amis, je sors jamais, je préfère m'enfermer, parler à personne, et attendr...
Déjà parce que je suis pas quelqu'un de très sociable..
J'ai juste la fac, je fais d'eprès d'arriver en retard, comme ça je parle à personne, et sitô tfinie : je me casse...
Mais franchement, on s'en sort...
Vraiment, c'est dure, on en crève parfois (surtout si l'autre a déjà quelqu'un de suite...) mais on s'en sort, vraiment...
Et tu t'en sortiras, cette phase aussi fait du bien..
Parfois une pause, pour se remettre en cause, pour voir plus loin que "la solitude", pour réfléchir sur comment reconstruire qq chose de sain, pour changer d'ahbitude, pour repndre des activités : je vaisreprendre théate/ etou dessin pour ma part, j'ai cerhché les numéros déjà, je suis revenue sur vlr...
Et puis ça m'a permis de faire le tri entre les personnes qui te disent qu'il seront là et qui ne le sont pas, et c...
On remet tout à plat dans sa vie...
Et puis on s'habitue, on trouve d'autre plaisir, pas dans les bras de quelqu'un, ni a y penser, mais juste de se coucher et de fermer la lumière tranquille, on se fait draguer et on a le sourir, et on se fait des listes ce qu'on va dire au dragueur, et on lui file le numro du dragueur précédent (entre dragueur ce sera marrant quand ils vont s'appeller)
Ca permet un "entre temps", un "autre temps"...
Et pourtant, dieu sait que la solitude, ça me faisait peur...
et puis parfois on le choisit pas, c'est l"autre qui coupe, on comprend pas,
même s'il disait t'aimer, même s'il disait que tu étais la personne la plus importante que tu étais la femme de sa vie, il coupe "comme ça" en qq heures et plus rien : le vide... et plus de nouvelles, à peine...
Et ben même ça on s'y fait... (alor tu vois,.. on se fait à tout... et même que cette personne ait quelqu'un on s'y fait.. et même plin d'uatre choses...) alors tu sais... vraiment ^l'être humain est une belle invention, vraiment, vriament ,vraiment
Mais en fait : "rien ne pousse près d'un grand arbre", disait Brancusi..
Et bien toi, tu vas être une petite pousse... pour l'instant ;) si jamais tu prends la décision d'être seule
Maintenant, le problème du break, c'est qu'on pense sans cesse, au ciné, on pense, dans le lit on pense, dans l train on pense, qq un devant toi te rappelle ça, et ça te rappelle c... et tu t'en sors plus ...
et ben en fait là aussi : de la volonté, tu t'obliges à te dire "non là merde", et à faire autre chose...
Au début, on se complait un peu dans tout ça...
Et puis un jour on a un déclic et on se dit que la vie on peut la refaire... toutjours, toujours encor eet en corps...
QUeça prendra le temps que ça prendra...
Et puis peut être que dans qq mois vous reiendez parc qu'en fait vous avez réfélchi... ou peut être que non...
Mais le principal c'est que pour une fois tu penses à toi ... :D
Et je suis un peu comme jazz, je dois dévier, et être maladroite, car je vis la situation que tu crains par dessus tout... :lol:
donc je te pose des questions que je me pose actuellement..